18 mars 2013



Gilgamesh, Bonneval et Duchazeau, 2005.




A VRAI DIRE, je ne vois pas de différence fondammentale entre les travailleurs du sexe, les masseurs et les autres thérapeutes, du moins en termes d'actes prodigués contre rémunération. La seule chose - de taille - qui diffère, c'est le regard porté sur ces professions. On devrait peut-être reconnaître le savoir, le savoir-faire, la disponibilité, la capacité d'écoute des putes, et puis aussi leur "art de l'amour". Bref, leurs compétences et le besoin que la -les- société -s- ont des travailleurs sexuels. En gros, il leur faudrait un statut, une fiche de paie, avec des cotisations CSG, alloc, et puis des attestations d'indépendance, de lutte contre la mafia et de dons solidaires. On pourrait imaginer aussi des labels. Même si ça manque de poésie, je crois que l'idée de bohème précarise la profession.




14 mars 2013

Dungeon Quest, Tome 3, Joe Daly, 2013, L'Association

8 mars 2013


Salopris de pigeons.



L'hôtel de la plage.